A l’heure où vous lirez ce billet, la plupart des participants à nos journées nationales de parents d’enfants handicapés seront probablement rentrés chez eux et nombreux sont ceux qui auront sans doute repris leurs activités.
C’est hier, peu après 12 heures que nos JNP 2019 se sont achevées.
Si comme je l’ai dit dans le billet précédent la journée de samedi a été marquée par l’émotion c’est vraiment la discussion et les échanges qui l’ont emporté hier matin. Discussion autour de l’actualité, qu’il s’agisse de scolarisation, de tutelles ou d’aidants familiaux les questions et les réponses n’ont pas laissé le moindre temps mort et on fait apparaître sinon une inquiétude générale, de nombreuses incertitudes qui nécessitent de la part des parents, comme de notre association une vigilance permanente. Non content de ne pas baisser les bras, il faut retrousser les manches …
Mais ce billet serait totalement incomplet si je n’évoquais pas le compte rendu des ateliers de la veille qui ont permis aux parents présents répartis en groupe d’une quinzaine de définir dix principes à faire admettre et dix actions à entreprendre pour arriver à une désinstitutionalisation réussie et choisie.
Vous comprendrez qu’il est un peu tôt pour vous en faire ici une restitution ordonnée mais dans le BIP du mois d’avril et avec les prochains billets sur ce blog nous ne manquerons pas d’y revenir.
Pour conclure ce partage en ligne des JNP je signalerai l’intervention de notre Président Alain ROCHON, qui a permis une discussion tout aussi débridée que passionnante avec une suggestion qu’il faut relever : « Et si depuis notre place de parents d’enfants en situation de handicap nous investissions le Grand débat ?
Pour terminer ce billet, permettez moi, Mesdames et Messieurs, de vous remercier du temps que vous avez bien voulu consacrer à me lire que ce soit régulièrement ou très occasionnellement. Voilà bientôt 10 ans que j’anime ce blog, Il est temps de passer la main à l’équipe en place du GNP en les félicitant de tout le travail qu’ils font déjà par ailleurs.
Bonne continuation à toutes et tous.
Bernard