Bonne année !!!

 

  Quelle vanité !

Comment oser proposer d’un seul coup l’équivalent de 365 « bonjour », 365 « bonsoir » et autant de « bonne nuit », sans parler des « bon voyage », « bon appétit », « bon courage » et autres bontés  généreusement  offertes au fil des circonstances ?

Malgré ce,  le GNP de l’APF ose vous dire Bonne année et au-delà de toutes les réussites qui vous seront proposées et auxquelles nous nous associons, nous vous souhaitons une année 2014 particulièrement chargée d’évènements «inclusifs», tant pour vos enfants que pour vous-mêmes.

  1. Que l’accès à l’éducation continue d’être facilité de façon à ce que chacun puisse conduire à son rythme sa scolarité avec tous les soutiens qu’il mérite.

  2. Que la vie en établissement ne soit plus limitée aux murs de la structure et qu’un bel horizon soit offert pour la mise en œuvre des projets de vie.

  3. Que nous parents, nous ne soyons plus exclusivement des aidants ou parents d’enfants handicapés. Que nous puissions être des parents : Tout simplement.

Arrêtons-nous là car, ici aussi il serait prétentieux de vouloir tout dire en quelques lignes. Mais après tout, la féérie du changement de millésime n’est-elle pas là pour apporter un peu de rêve à notre quotidien ?

Dans ces conditions le GNP vous dit Bonne année, persuadé que si nous y mettons un peu d’ambition nous arriverons un jour à la faire, cette société inclusive.

Bonne à tous et à bientôt sur ce blog ou dans les pages du BIP notre futur bulletin d’information en lieu et place d’interparents.

 Abonnez-vous : C’est gratuit.

 

Commentaires

  • Merci à la maman pour son témoignage p.9 sur le retour en foyer du résident qui ne rime pas avec bientraitance! Nous le vivons également. Le "cloisonnement" est encore d'actualité dans les lieux de vie à... malgré les grands discours et les beaux papiers. La réalité du quotidien de nos enfants devenus adultes est tout autre et engendre grande déception et perte de confiance! Merci aux instances de ... de réfléchir à la place de la famille dans la continuité et le respect de la vie adulte de son enfant. Le paradoxe: l'institution demande au jeune handicapé d'être encore plus indépendant et autonome que sa fratrie valide! Les parents sont à l'écoute de leurs enfants pour la vie!

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