Bien loin d'un long fleuve tranquille ...
Selon France Info il semblerait que « seuls 6% des étudiants obtiennent un logement universitaire» et que, « à quelques semaines de la rentrée, beaucoup de jeunes cherchent encore un toit pour l'année scolaire. »
Dans ces conditions bon nombre de nos enfants en situation de handicap, s’ils sont en mesure de se lancer dans des études supérieures n’ont plus à faire face à une galère : c’est toute une flottille qu’ils doivent affronter, et ils ne sont pas les seuls. Les syndicats d’étudiants seraient d’ailleurs sur la brèche.
En ce qui concerne nos fils et nos filles peut-être maintenant majeurs, tout à commencé dès la maternelle et il n’est pas utile de le ressasser ici. Restons en plutôt aux vicissitudes liées aux aménagements d’examens, avec ou sans AVS. Puis arrivés au bac, rajoutons les possibles soucis d’affectation pour des milliers de lauréats pas forcément en situation de handicap, voir notre blog du 11 août dernier. Et maintenant il faut affronter la difficile quête d’un logement décent et adapté, en ce qui les concerne.
Au fait, j’oubliais les 5€ d’aide au logement en moins*.
Mais comme a dit Einstein : « La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre. »
Alors, parents, quel que soit le handicap qui touche nos enfants, essayons de ne pas baisser les bras et ne restons pas seuls, ça aide.
*APL : nous proposons une solution : Pourquoi les propriétaires ne pratiqueraient t’ils pas une baisse équivalente, puisque l’on nous rebat les oreilles en disant que les aides font augmenter les loyers ?