- Page 2

  • Des bourses pour la formation des jeunes étudiants handicapés

    Bourses FÉDÉEH

    images?q=tbn:ANd9GcRBzKzuwPqlcPPfpmCFDyv146mUh_tlDtNbpppZMHdv2JMuzafQSi votre fils ou votre fille en situation de handicap est :

    • inscrit dans un établissement d'études supérieures ou lycéen de terminale souhaitant poursuivre leurs études
    • étudiant souhaitant poursuivre son cursus supérieur (BTS, IUT, CPGE, Universités, Grandes écoles, CFA…). 

    Ce billet peut vous intéresser mais surtout les intéresser.

    En effet, chaque année la FÉDÉEH attribue des bourses qui ont pour objectif d'appuyer les parcours de formation vers l’emploi des jeunes handicapés qui ne trouvent pas toujours les solutions de financement pour compenser les besoins liés à leur situation. A travers ces bourses, la FÉDÉEH et les différents partenaires du dispositif souhaitent répondre à ces besoins, sans se substituer aux dispositifs existants, et lancer un message d’encouragement et de soutien à l’ensemble des élèves et étudiants handicapés.

    Mais la FÉDÉEH c’est quoi ? - Majoritairement dirigée par des jeunes handicapés, la Fédération Étudiante pour une Dynamique Études et Emploi avec un Handicap est la représentation nationale de la jeunesse engagée en matière de handicap. Elle rassemble plus de 650 jeunes handicapés et plus de 50 associations et fédérations territoriales et filières étudiantes. Avec l’aide de ses membres ressources (établissements supérieurs, associations spécialisées, entreprises...) elle forme et accompagne ses bénévoles dans la mise en place d’actions pour l’autonomie et la réussite de plus de 1500 jeunes handicapés. etc.

    Qui peut candidater ? - Les jeunes indiqués plus haut, à savoir :

     
    • les jeunes en situation de handicap inscrits dans un établissement d'études supérieures ou lycéens de terminale souhaitant poursuivre leurs études
    • les étudiants handicapés souhaitant poursuivre leur cursus supérieur (BTS, IUT, CPGE, Universités, Grandes écoles, CFA…). 

    Attention : Vous avez jusqu'au 3 avril pour être candidat

    Pour en savoir davantage : www.fedeeh.org

  • Accompagnement de la personne handicapée

    image_miniL’Anesm  (Agence nationale de l’évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médicaux sociaux) lance un appel à contribution sur « L’accompagnement de la personne polyhandicapée ».

    Les réponses sont attendues au plus tard le 22 mars 2018.

    Actuellement, l’ANESM est en cours d’élaboration de recommandations de bonnes pratiques professionnelles intitulées « L’accompagnement de la personne polyhandicapée » et souhaite recueillir votre expérience.

    Si vous êtes un proche ou un professionnel (de santé, du social ou du médico-social), et que vous accompagnez une personne polyhandicapée, vous êtes concernés.

    Alors : Participez sur :

    http://www.anesm.sante.gouv.fr/spip.php?page=news&id_article=1238&t=1&cn=ZmxleGlibGVfcmVjcw%3D%3D&refsrc=email&iid=2418c16c119041c7a72c6e24f0ce9006&uid=878668311667634176&nid=244+285282312

    Ou encore cliquez sur le lien : https://solen3.enquetes.social.gouv.fr/cgi-bin/HE/SF?P=2501z21z7z-1z-1zF4C676FB55 pour accéder directement au questionnaire

    Mais aussi ; A droite de l'écran ne manquez pas de lire : Faire Face – Toute l'actualité du handicap moteur : Aidants : la majorité et le gouvernement rejettent le projet de congé indemnisé

  • La reconnaissance des aidants

    Notre association l’APF communique :

    L’APF soutient la proposition de loi pour  la reconnaissance sociale des aidants

     

    L’APF salue et soutient la proposition de loi visant à apporter une reconnaissance sociale aux 8,3 millions de proches aidants en France. Cette proposition répond aux principales demandes de l’association concernant le congé proche aidant : son indemnisation et  sa durée d’un an rendue possible pour chaque personne aidée. Cette proposition de loi, rejetée par la Commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale, sera discutée en Séance plénière le 8 mars prochain.  L’APF demande aux parlementaires de s’engager en faveur de cette proposition de loi, basée sur la solidarité nationale et qui aidera les aidants à concilier leur vie professionnelle avec l’aide apportée à un proche. 

     

    L’APF soutient cette proposition de loi qui apporte une vraie réponse aux besoins des proches aidants. En effet, un glissement s’observe depuis plusieurs années de la solidarité nationale vers la solidarité individuelle avec, notamment les lois sur le don entre collègues de jours de RTT ou de jours de congés non pris. Ces lois créent des inégalités entre salariés, que ce soit en raison de la taille de l’entreprise ou des durées différentes de congés, et font craindre une résurgence de la charité au détriment des droits des personnes !

     

    A contrario, cette proposition de loi sur la reconnaissance sociale des aidants n’est pas aléatoire et s’adresse à tous les aidants salariés.  En proposant d’indemniser le congé de proche aidant, elle facilite le maintien d’une vie professionnelle sans faire dépendre les aidants de la générosité de leurs collègues (47% des aidants occupent un emploi et seuls 8% ont recours aux congés existants). En outre, elle prend en compte le fait que dans une vie on puisse être un temps aidant de son enfant ou de son conjoint puis de son parent, et ne limite pas ce congé à un an sur l’ensemble d’une carrière professionnelle, mais à un an par personne aidée. 

     

    Alors que cette proposition de loi sera discutée le 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, l’APF tient à souligner que les proches aidants qui sont contraints de cesser leur activité professionnelle pour accompagner une personne dépendante, sont majoritairement des femmes.  La solidarité nationale doit leur permettre de maintenir leur vie professionnelle, ce qui passe par l’indemnisation du congé, même si cela ne doit pas faire oublier la nécessité de développer une aide professionnelle de qualité pour toutes les personnes en situation de handicap.

     

    L’APF attend donc des députés une mobilisation pour permettre aux millions d’aidants de concilier leur vie professionnelle avec l’aide apportée à un proche.