Scolarité/Etudes - Page 25

  • Violences et harcèlement en mileu scolaire

     Aujourd'hui 3 Décembre : Journée internationale des personnes handicapées

     

     

    Harcèlement à l’école : que faire ?

     

    Claques, injures, rumeurs, usurpation d’identité sur les réseaux sociaux... Dans le cadre de la campagne de lutte contre le harcèlement à l’école, le ministère de l’éducation nationale présente son site internet rénové

     

    www.agircontreleharcelementalecole.gouv.fr.

     

    Quoi faire et qui contacter en cas de harcèlement ?

     

    • appeler le 0808 80 70 10, numéro stop harcèlement (accessible du lundi au vendredi de 9h à 18h) pour dialoguer avec des spécialistes qui donnent des conseils et peuvent mettre en relation avec le référent harcèlement de l’académie,

    • ou le 0800 200 000 numéro net écoute (accessible du lundi au vendredi de 9h à 19h) pour parler cyber-harcèlement avec des conseils concernant le retrait d’images, de propos blessants voire de comptes.

      Des fiches pratiques sont également disponibles en ligne pour les élèves (victimes et témoins), les parents et les professionnels de l’éducation. Enfin, des questions-réponsespermettent de trouver d’autres conseils mais aussi des documents et des outils pédagogiques.

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    Pour en savoir plus

     

     

  • Transport scolaire

    Nos enfants ne sont pas des colis !

     Avec une prestation porte à porte

    Rapide performante et fiable*

     Témoignage de parents d’un petit garçon handicapé qui a été transporté comme un colis.

    Comme toute bonne rentrée qui se respecte, notre lot de parents d’enfants handicapés rime avec le transport de nos enfants (en tout cas pour ceux qui ont la chance de pouvoir avoir une place quelque part.)

     Je ne connais pas un parent où cela se passe bien toute l’année, enfin j’exagère il y  a des chauffeurs qui font bien leur métier de manière consciencieuse ou tout simplement qui ont un minimum de bon sens…

    Non je veux juste parler de ces autres trop nombreux chauffeurs qui transportent nos enfants comme des « colis » ou autres paquets à livrer d’un point à un autre.

    Alors voilà, on ne parlera que d’une de nos histoires qui s’est déroulée en fin d’année scolaire et qui m’a particulièrement motivé pour témoigner à travers ce blog.

    Ce n’est pas simple pour nous de laisser partir chaque matin et voir revenir chaque soir notre garçon parce que nous ne pouvons pas l’emmener. Nous avons besoin d’avoir une grande confiance à la personne qui accompagne notre enfant entre son lieu de vie et son établissement.

     Une histoire parmi tant d’autres.

    Ça commence par un premier chauffeur à qui on explique que :

    « Le temps de transport est pour nous un moment important car c’est d’abord un premier accueil avant d’arriver à l’établissement, et c’est souvent ce qui détermine si notre fils va passer une bonne journée ou pas, et qu’il (le chauffeur) fait partie de toute l’équipe qui accompagne l’enfant pendant l’année. »

    Malgré cela la situation est devenue insupportable, nous ne pouvions plus accepter les différents dysfonctionnements.

    Il a été décidé qu’un autre chauffeur transporte notre fils en cours d’année.

    Évidemment de la même société de transport !

    Alors pour éviter tous désagréments, d’éviter les soucis, et surtout de faire confiance à la personne qui va transporter notre enfant : nous mettons un cadre encore plus clair avec lui afin qu’il n’y ait aucun problème.

    On commençait à souffler après une semaine où tout s’était bien passé, quand ce nouveau chauffeur laisse notre enfant sur le trottoir en face de notre  portail de maison avec toutes ses affaires : un sac à dos, une sacoche avec son ordinateur et sa veste sur le sol !

    Ha oui, il a bien appelé le papa qui attendait à la maison, mais il était déjà bien loin le monsieur…Stupéfaction !

    Lorsque nous descendons récupérer l’enfant et ses affaires : plus d’ordinateur, juste le sac à dos et la veste !

    Nous essayons de rappeler le chauffeur : impossible de le joindre.

    Finalement très tard il rappelle en nous disant « qu’il avait effectivement laissé rentrer l’enfant seul avec ses affaires à la maison et qu’il était en retard »

    Comment est-il possible qu’une personne puisse laisser un enfant handicapé au bord de la route sans le remettre à un parent ou autre adulte désigné ?

    Bien entendu, nous avons essayé de joindre la responsable de la société, en vain…Nous leur avons envoyé un mail, en vain…

    Nouvelle rentrée scolaire : c’est après maints appels que nous avons réussi à joindre la  personne qui devant témoin à répondu au papa «  pour moi, c’est une affaire réglée, mon chauffeur m’a donné sa version et je le crois…Et je n’ai pas que ça à faire c’est la rentrée… » Et elle lui a raccroché au nez ! Quelle violence pour nous parents !

    Que pouvons nous faire seuls face à cela ?

    Bien entendu, nous avions déjà porté plainte pour le vol de l’ordinateur Mais nous attendions la position de l’établissement à qui nous avions fait part dés le lendemain pour porter plainte contre la société mis en cause…mais pas de nouvelles…

    En attendant on a eu un autre chauffeur ou plutôt « une chauffeure » de taxi qui est très bien et qui nous rassure pour l’instant…Mais elle ne travaille pas pour  une société de taxi, c’est une employée de l’établissement ! C’est peut-être ça la solution ?

    Pourquoi témoigner ?

    Ce n’est pas évident de témoigner car il en faut de l’énergie, du courage, du temps pour tout cela, parce que nous avons souvent peur de faire des « vagues » ou on se dit que la société de taxi aura le dernier mot en définitive vu la manière dont il nous traite…

    Mais nous ne sommes pas seuls. Avec d’autres parents d’enfants handicapés nous voulons nous mobiliser pour ne plus  laisser passer ces situations « intolérables »

     * Ce titre est la publicité de la Poste pour ses colis.

     

  • Accès aux activités périscolaires

    Accès des enfants handicapés au périscolaire: appel à témoignages

    Fin 2012, Le Défenseur des droits, Dominique Baudis avait demandé au gouvernement de "prendre en compte les besoins spécifiques des élèves handicapés" dans le projet de réforme des rythmes scolaires, étant donné les difficultés rencontrées pour participer aux activités extrascolaires et périscolaires.
    Aujourd’hui il souhaite savoir "à quelles difficultés d'accueil et d'accompagnement" ils se heurtent, savoir si "la continuité de leur parcours entre les temps scolaire et périscolaire" est assurée et, en cas de "rupture de prise en charge, quelles contraintes organisationnelles pèsent sur les enfants et leurs familles".
    Dominique Baudis a donc lancé un appel à témoignages auprès des familles d'enfants handicapés, en vue d'analyser les difficultés auxquels ils sont confrontés dans l'accès aux activités périscolaires.

    L’enquête s’adresse particulièrement aux familles d’enfants handicapés scolarisés en milieu ordinaire, en école maternelle ou primaire ou accueillis en établissement médico-social.

    Vous pouvez dès à présent témoigner par l’intermédiaire d’un questionnaire accessible sur le site Internet de l’institution (https://formulaire.defenseurdesdroits.fr/famille-handicap/). Les témoignages ainsi recueillis permettront d’alimenter une analyse de la situation.

    Par ailleurs, les parents qui souhaitent saisir le Défenseur des droits d’une réclamation individuelle peuvent le faire sur le site Internet du Défenseur des droits ( http://www.defenseurdesdroits.fr/saisir-le-defenseur-des-droits/qui-peut-saisir-le-defenseur-et-pourquoi )